THE DISSENT OF MAN (2010)

© Epitaph Records – Septembre 2010

Composition : Greg Graffin (chant), Brett Gurewitz (guitare), Brian Baker (guitare), Greg Hetson (guitare), Jay Bentley (basse), Brooks Wackerman (batterie).

Le titre de cet album est une référence au fameux livre de Charles Darwin « The descent of man » (La filiation de l’homme).

Liste des chansons

1. The Day That The Earth Stalled Greg Graffin
2. Only Rain Brett Gurewitz
3. The Resist Stance Greg Graffin
4. Won’t Somebody Brett Gurewitz
5. The Devil in Stitches Brett Gurewitz
6. Pride and the Pallor Greg Graffin
7. Wrong Way Kids Brett Gurewitz
8. Meeting of the Minds Greg Graffin
9. Someone to Believe Greg Graffin
10. Avalon Greg Graffin
11. Cyanide Brett Gurewitz
12. Turn Your Back on Me Brett Gurewitz
13. Ad Hominem Greg Graffin
14. Where The Fun Is Brett Gurewitz
15. I Won’t Say Anything Brett Gurewitz
16. Finite * Greg Graffin

* Chanson bonus sur la version japonaise.

1. The Day That The Earth Stalled (Graffin)

Do you remember when we were young, adventure had no end?
Those were the days my friend. But I’m not talking about that at all.
Do you remember when you marred my future with a sickly parasitic pall?
That was the day that the earth stalled.
That was the day the earth stalled.
On the day that the earth stalled.

Friction, bonds, and gravity, all harmonic motion ceased.
Life itself could not maintain from that singularity.
Try to withstand a magnetic storm with no one to keep you warm.
Waiting for the rest to fall, since the day that the earth stalled.

That was the day the earth stalled.
Since the day that the earth stalled.
That was the day the earth stalled.
On the day that the earth stalled.

Le jour où la terre s’est arrêtée

Te rappelles-tu quand nous étions jeunes, l’aventure était sans fin ?
C’était le bon vieux temps, mon ami.
Mais ce n’est pas du tout ce dont je veux te parler.
Tu te souviens quand tu as ruiné mon avenir avec une maladie infectieuse et malsaine ?

C’était le jour où la terre s’est arrêtée
C’était le jour où la terre s’est arrêtée
Le jour où la terre s’est arrêtée

La tension, les liens et la gravité, tout mouvement harmonique a cessé.
La vie elle-même n’a pas pu se soustraire à cette singularité.
Essaie de résister à un orage magnétique sans personne pour te réchauffer.
J’attends que ce qui reste disparaisse, depuis le jour où la terre s’est arrêtée.

Ce fut le jour où la terre s’arrêta.
Depuis le jour où la terre s’est arrêtée.
C’est le jour où la terre s’est arrêtée.
Depuis le jour où la terre s’est arrêtée.

2. Only Rain (Gurewitz)

Hey, scientist please save us from our rainy days
Because your counterpart in the magic art is manufacturing judgment day
There’s a fell wind blowing out of the east
Bringing famine drought and plague
Well now at least that’s what they say

Rain fell like judgment
Across my windowpane
Said it fell like judgment
But it was only rain

Well I know what’s wrong and I know what’s right
And I know that evil exists sure as the day turns into night
When a man gets down on his knees to pray you know he’ll find what he is able
But chances are he’ll find it either way

Rain fell like judgment
Across my windowpane
Said it fell like judgment
But it was only rain

Rain fell like judgment
Across my windowpane
Said it fell like judgment
But it was only rain

Oh lord, have mercy on a humble man
Lost in the wilderness without a guiding hand

Rain fell like judgment
Across my windowpane
Said it fell like judgment
But it was only rain

It fell like judgment
Across my windowpane
Said it fell like judgment
But it was only rain.

Seulement de la pluie

Hé, le scientifique, s’il te plaît, protège-nous des jours de pluie
Parce que ton homologue en art magique se concentre sur le jour du jugement
Il y a un grand vent qui souffle par l’est
Apportant la famine, la sécheresse et la peste
En tout cas, c’est ce qu’il se dit

La pluie tombait comme un jugement
De l’autre côté de ma fenêtre
Cela ressemblait à un jugement
Mais ce n’était que de la pluie

Eh bien, je sais ce qui est faux et je sais ce qui est vrai.
Et je sais que le mal existe, aussi sûrement que le jour se transforme en nuit
Quand un homme s’agenouille pour prier, vous savez qu’il trouvera ce qu’il cherche
Mais il est possible qu’il l’aurait trouvé de toute façon

La pluie tombait comme un jugement
De l’autre côté de ma fenêtre
Cela ressemblait à un jugement
Mais ce n’était que de la pluie

La pluie tombait comme un jugement
De l’autre côté de ma fenêtre
Cela ressemblait à un jugement
Mais ce n’était que de la pluie

Oh seigneur, ayez pitié d’un homme modeste
Perdu dans la jungle sans une main pour le guider

La pluie tombait comme un jugement
De l’autre côté de ma fenêtre
Cela ressemblait à un jugement
Mais ce n’était que de la pluie

La pluie tombait comme un jugement
De l’autre côté de ma fenêtre
Cela ressemblait à un jugement
Mais ce n’était que de la pluie.

3. The Resist Stance (Graffin)

Seeds of rebellion lay outside your front door.
If you nourish them and water them they’ll grow into a healthy « what for? »
And if revolution isn’t what’s in store, how can you care anymore?

It’s a dangerous slip, a conscientious shift.
In the spirit of resistance you gotta hold your grip
Lest the state of your resolve makes you quickly devolve to a fundamentalist.

You’re an archetype, they can pin to the wall
When you cling to all convictions like a farm animal in its stall,
Never thinking of the bigger world outside, as they take you for a ride.

It’s a dangerous slip, a conscientious shift.
In the spirit of resistance you gotta hold your grip.
Because passion unabated can be readily conflated as belligerence.

It’s a dangerous slip, a conscientious shift.
The spirit of resistance you gotta hold your grip.
And the verdict won’t be kind, ‘cuz they’re desperate for a viable alternative.

Take a stance. The Resist stance.
Take a stance. The Resist stance.
Take a stance. The Resist stance.
Take a stance. The Resist stance !

La position de Résistance

Les graines de la rébellion attendent devant ta porte.
Si tu les nourris, si tu les arroses, elles se transformeront en un salutaire « pourquoi ? ».
Et si la révolution n’est pas ce qui t’attend, pourquoi t’en soucier ?

C’est un dangereux dérapage, un changement de conscience
Dans l’esprit de résistance, il faut tenir bon
De peur que ta détermination ne te fasse rapidement passer pour un fondamentaliste.

Tu es un archétype, qu’ils peuvent épingler au mur
Quand tu te cramponnes à toutes tes convictions comme un animal de ferme dans son étable,
Sans jamais penser au vaste monde extérieur, pendant qu’ils te baladent.

C’est un dangereux dérapage, un changement de conscience.
Dans l’esprit de résistance, il faut tenir bon.
Parce que la passion sans relâche peut être facilement assimilée à de la belligérance.

C’est un dangereux dérapage, un changement de conscience.
Dans l’esprit de résistance, il faut tenir bon.
Et le verdict ne sera pas favorable, car ils cherchent désespérément une alternative viable.

Prenez position. La position de Résistance.
Prenez position. La position de Résistance.
Prenez position. La position de Résistance.
Prenez position. La position de Résistance !

4. Won’t Somebody (Gurewitz)

Out in the cold like a bundle of coal
Little packets of darkness wanting to glow
Well, there’s nobody home and there’s a wreck in the yard
Well maybe they’re coming back
If we wish really hard
If we wish real hard now

Won’t somebody please come up with something
‘Cause Jesus just don’t seem to be impartially working
And all of the rest are really down in the ratings
So everyone is gonna keep on waiting

Waiting for peace at the end of the street
Back behind our apartment and in passenger seats
Just a moment of bliss amid all of the waste
The despair and oblivion of our precarious race
It’s ours to face now

Won’t somebody please come up with something
‘Cause Jesus just don’t seem to be impartially working
And all of the rest are really down in the ratings
So everyone is gonna keep on waiting

Now, I know nothing lasts forever
So we might as well wish for a goddamn fix
Of this toxic changing weather

Now tell me
Won’t somebody please come up with something
‘Cause Jesus just don’t seem to be impartially working
And all of the others can barely stay in the running
So everyone is still right here waiting

Won’t somebody please come up with something
Won’t somebody please come up with something
Won’t somebody please…

Quelqu’un pourrait-il

Dans le froid comme une boule de charbon
Des petits paquets de ténèbres attendent de briller
Il n’y a personne à la maison et il y a une épave dans la cour
Peut-être qu’ils reviendront.
Si nous le souhaitons très fort
Si nous le souhaitons très fort maintenant

Quelqu’un pourrait-il trouver quelque chose
Parce que Jésus ne semble pas agir de façon impartiale
Et tous les autres sont vraiment descendus dans les classements
Alors tout le monde va continuer à attendre

Attendre la paix au bout de la rue
Derrière nos appartements et sur les sièges passagers
Un moment de bonheur au milieu de tout ce gâchis
Le désespoir et l’oubli de notre race vulnérable
C’est à nous d’y faire face maintenant

Quelqu’un pourrait-il trouver quelque chose
Parce que Jésus ne semble pas agir de façon impartiale
Et toutes les autres sont vraiment descendues dans les classements.
Alors tout le monde va continuer à attendre

Maintenant, je sais que rien ne dure éternellement
Alors autant espérer une foutue solution
Pour ce toxique changement climatique

Maintenant, dites-moi
Quelqu’un pourrait-il trouver quelque chose
Parce que Jésus ne semble pas agir de façon impartiale
Et tous les autres peuvent à peine rester dans la course
Tout le monde est donc encore là à attendre.

Quelqu’un pourrait-il trouver quelque chose
Quelqu’un pourrait-il trouver quelque chose
Quelqu’un pourrait-il…

5. The Devil in Stitches (Gurewitz)

Hey angels fall down without warning
Cherry lipstick on their teeth and all dangerous curves
She had a bullet proof mind and big pawn shop eyes
And nothing you could say would get to her

So don’t look homeward angel from that rumble seat
I can strum twice and make it all go away
We’ll tap every last drop until that beating stops
And let the devil come join us dancing

Across the yellow sun
We’ll run
Because the devil in stitches only has his fun
Performing for the chosen one
We can run

She was living on the edge of a knife
His head was filled with restless ghosts
It’s so easy to love a bringer of destruction
She said, « Darling I love you madly »

Black tear stained cheeks behind her shattered window
Prayin’ for a song to save her life
I had a paperback crime running straight down my spine
So let the devil come join us dancing

Across the yellow sun
We’ll run
while devil in stitches goes and has his fun
Performing for the chosen one
We can run

Wild in the street like a formal procession of love and deceit
I will carry you home like a bride from the wreckage
Here’s your punch drunk cupid knocked clean out of his senses

I know he drove her out to the brink
That’s where they stood and looked down
Right then he made a decision
That’s where they made a division
Declaring war on the weather

A reckless pact with forever
So come on and sing
Sing hallelujah
Right now.

Le diable plié de rire

Hé, les anges descendent sans prévenir
Du rouge à lèvres cerise sur les dents et des courbes dangereuses
Elle avait un mental à toute épreuve et de grands yeux de prêteur sur gages
Et rien de ce qu’on pouvait dire ne l’affectait

Alors, ne regardez pas l’ange de retour depuis la banquette arrière
Je peux gratter deux fois et tout faire disparaître
On va boire jusqu’à la dernière goutte, jusqu’à ce que les battements s’arrêtent
Et que le diable se joigne à nous pour danser

A travers un soleil éclatant
Nous allons courir
Parce que le diable plié de rire ne fait que s’amuser
Jouant un rôle pour l’élu
Nous pouvons courir

Elle vivait sur le fil du rasoir
Sa tête était pleine de fantômes agités
Il est si facile d’aimer celle qui apporte le malheur
Elle a dit : « Chérie, je t’aime à la folie »

Ses joues tachées de larmes noires derrière sa fenêtre cassée
Priant pour qu’une chanson lui sauve la vie
J’avais un polar de poche qui me faisait froid dans le dos
Que le diable se joigne à nous pour danser

A travers un soleil éclatant
Nous allons courir
Pendant que le diable plié de rire s’amuse
Jouant un rôle pour l’élu
Nous pouvons courir

Comme des fous dans la rue, comme un cortège formel d’amour et de mensonges
Je te ramènerai à la maison comme une mariée sortie du naufrage
Voici votre cupidon ivrogne qui a perdu la raison

Je sais qu’il l’a conduite jusqu’au bord du gouffre
C’est là qu’ils se tenaient et regardaient en bas
Il a alors pris une décision
C’est là qu’ils ont opéré une scission.
Déclarant la guerre à la météo
Un pacte imprudent avec l’éternité
Alors venez et chantez
Chantez alléluia
Tout de suite.

6. Pride and the Pallor (Graffin)

Papa had a wife and kids he kept them on a leash and he bid them all to do his every deed.
When he was a kid he was treated just the same so he hid his feelings from his family.
Lost as an island out at sea, resistant to the gentle waves of empathy.

Yeah, Papa and his family always on parade.
Tearing through the turnstiles, a weekender’s charade.
But time will tell, as their world crumbles to hell.
What they created was a family story no one will tell.
It’s a photo album too terrible.
But the pride and the pallor continue to swell.
And the matron silently prays.

Junior resented the tradition they upheld and it ate him up inside most every day.
Silence was golden and they kept him to his word.
So bewildered when he finally ran away.
Oh, obligations never cease.
Oblivious of the ways to give his soul some peace.

Yeah, Papa and his family always on parade.
Passing through the turnstiles, a weekender’s charade.
But time will tell, as their world crumbles to hell.
What they created was a family story no one will tell.
It’s a photo album too terrible.
But the pride and the pallor continue to swell as the matron silently prays.

“Get me out of here, someone’s got to save the day.”
The children are reminded to do it for their daddy’s sake. And happiness is ever so far, far away.

Yeah, lost as an island out at sea.
Oblivious to the gentle waves of empathy.
Yeah, Papa and his family always on parade.
Tearing through the turnstiles, a weekender’s charade.
It’s just a sick calamity that fatherhood made, but time will tell, as their world crumbles to hell.
What they created was a family story no one will tell.
It’s a photo album too terrible.
But the pride and the pallor continue to swell as the matron silently prays.

La fierté et la pâleur

Papa avait une femme et des enfants qu’il tenait en laisse, il leur demandait de faire tout ce qu’il voulait.
Petit, il était traité de la même manière alors il cacha ses sentiments à sa famille.
Perdu comme une île en mer, résistant aux douces vagues de l’empathie.

Oui, papa et sa famille, toujours à la parade.
Traversant les tourniquets, une mascarade de fin de semaine.
Mais le temps nous le dira, alors que leur monde bascule en enfer.
Ce qu’ils ont créé, c’est une histoire de famille que personne ne racontera.
C’est un album photo bien trop horrible.
Mais la fierté et la pâleur continuent de croître.
Et la matrone prie en silence.

Junior ne supportait pas la tradition qu’ils devaient respecter et chaque jour, ça le rongeait de l’intérieur.
Le silence était d’or et ils le prenaient au mot.
Il fut tellement perturbé qu’il finit par s’enfuir.
Oh, les obligations ne cessent jamais.
Il ne savait pas comment donner à un peu de paix à son âme.

Oui, papa et sa famille, toujours à la parade.
En passant par les tourniquets, une mascarade de fin de semaine.
Mais le temps nous le dira, alors que leur monde bascule en enfer.
Ce qu’ils ont créé, c’est une histoire de famille que personne ne racontera.
C’est un album photo bien trop horrible.
Mais la fierté et la pâleur continuent de croître alors que la matrone prie en silence.

« Sortez-moi de là, quelqu’un doit pouvoir me sauver. »
On rappelle aux enfants de le faire pour l’amour de leur papa.
Et le bonheur est toujours loin, très loin.

Oui, perdu comme une île en mer.
Ignorant les douces vagues d’empathie.
Oui, Papa et sa famille toujours à la parade.
Traversant les tourniquets, une mascarade de fin de semaine.
Juste une calamité malsaine que la paternité a créée, mais le temps nous le dira, alors que leur monde bascule en enfer.
Ce qu’ils ont créé, c’est une histoire de famille que personne ne racontera.
C’est un album photo bien trop horrible.
Mais la fierté et la pâleur continuent de croître alors que la matrone prie en silence.

7. Wrong Way Kids (Gurewitz)

Stop them from shimmering away
On blank sidewalk glittering asphalt somewhere summer days
The wrong way kids were something more than friends
Navigating a sprawl without end

Did you ever want to take bad advice
Did you ever want to go and take it twice
Do you remember when the world began to put up its thorny fence
Right you are my friend
So what’s wrong with them
There go the wrong way kids

Singing whoa oh whoa oh whoa oh ohhhh
Singing whoa oh whoa oh whoa oh ohhhh
Whoa oh whoa oh whoa oh ohhhh
And they call them the wrong way kids

The kids today are gone away petitioning the dust
With no one to look up to because they’re looking up to us
Just misfit melancholy dregs out lost in the mall
Wanderers to nowhere at all

Did you ever want to take bad advice
Did you ever want to go and take it twice
Do you remember when the world began to put up its thorny fence
Right you are my friend
So what’s wrong with them
There go the wrong way kids

Singing whoa oh whoa oh whoa oh ohhhh
Singing whoa oh whoa oh whoa oh ohhhh
Whoa oh whoa oh whoa oh ohhhh
And they call them the wrong way kids.

Les gamins perdus

Pour les empêcher de disparaître.
Sur un trottoir désert, l’asphalte scintillant, quelque part en été
Les gamins perdus étaient plus que des amis
Navigants dans une zone urbaine sans fin

As-tu déjà voulu suivre un mauvais conseil ?
As-tu déjà eu envie de le suivre une deuxième fois ?
Te souviens-tu quand le monde a commencé à ériger sa clôture épineuse ?
Tu as bien raison, mon ami
Alors, qu’est-ce qu’on leur reproche ?
Voilà les gamins perdus

Qui chantent whoa oh whoa oh whoa oh ohhhh
Qui chantent whoa oh whoa oh whoa oh ohhhh
Whoa oh whoa oh whoa oh ohhhh
Et on les appelle les gamins perdus

Les jeunes d’aujourd’hui sont partis en quête de poussière
Sans personne à admirer parce qu’ils comptent sur nous
Une mélancolie malsaine à la dérive dans un centre commercial
Des vagabonds n’allant nulle part

As-tu déjà voulu suivre un mauvais conseil ?
As-tu déjà eu envie de le suivre une deuxième fois ?
Te souviens-tu quand le monde a commencé à ériger sa clôture épineuse ?
Tu as bien raison, mon ami
Alors, qu’est-ce qu’on leur reproche ?
Voilà les gamins perdus

Qui chantent whoa oh whoa oh whoa oh ohhhh
Qui chantent whoa oh whoa oh whoa oh ohhhh
Whoa oh whoa oh whoa oh ohhhh
Et on les appelle les gamins perdus.

8. Meeting of the Minds (Graffin)

In 325, the Council devised a set of sacred testaments, transparent and wise.
The truth is only ever relied on that which we agree and abide.
At the meeting of the minds. Reading of the times. Open the blinds. To our complicated lives.
We all need some kind of creed to lead us to light.

In old Tennessee, the last century. All scopes were fixed on legal tricks and whether or not we should teach kids natural philosophy, despite uncomfortable verity.
At the meeting of the minds. Reading of the times. Open the blinds. To our complicated lives.
We all need some kind of creed to lead us to light.

There’s a beacon that shines in the night, a dark pitch though it may be.
And the halcyon fields of opportunity turn out to be consensual and arbitrary.

Today on my ride I witnessed a guy complaining about how a so-and-so had lied.
No longer will the market decide what the government should provide.
At the meeting of the minds. Reading of the times. Open the blinds. To our complicated lives.
We all need some kind of creed to lead us to light.

La rencontre des esprits

En 325, le Conseil a imaginé un ensemble de testaments sacrés, à la fois clairs et avisés.
La vérité n’est jamais fondée que sur ce que nous acceptons et respectons.
À la rencontre des esprits. La lecture de l’époque. En ouvrant les volets. Sur nos vies compliquées.
Nous avons tous besoin d’une forme de croyance pour nous guider vers la lumière.

Dans le vieux Tennessee, au siècle dernier. Tous les regards étaient tournés vers les combines juridiques et la question de savoir si nous devions ou non enseigner aux enfants la philosophie naturelle, malgré une vérité dérangeante.
À la rencontre des esprits. La lecture de l’époque. En ouvrant les volets. Sur nos vies compliquées.
Nous avons tous besoin d’une forme de croyance pour nous guider vers la lumière.

Une balise éclaire la nuit, même si elle est ténébreuse.
Et les champs sereins des possibilités s’avèrent être consensuels et arbitraires.

Aujourd’hui, en chemin, j’ai entendu un type se plaindre des mensonges d’un tel ou d’un autre.
Le marché ne peut plus déterminer ce que le gouvernement doit nous fournir.
À la rencontre des esprits. La lecture de l’époque. En ouvrant les volets. Sur nos vies compliquées.
Nous avons tous besoin d’une forme de croyance pour nous guider vers la lumière.

9. Someone to Believe (Graffin)

Dark, frozen, hibernation held at bay as your mind, left behind, lost another day.
But finally there’s someone to believe.
Anti-social boredom is all the rage but the time comes when you gotta turn the page and then finally there’s someone to believe.
And now you walk with confidence and ease.
And there’s no call to sell your soul or confess or drop down to your knees.

Who, what, or where made you change your mind? Doesn’t matter anymore ‘cuz you’ve seen a sign.
And now finally there’s someone to believe.
Searching for the answer’s a lonely quest but the act is liable to bring out your best. And then finally there’s someone to believe.
And now you have a purpose to perceive.
And you find out the baggage that you discarded, you didn’t even need.

No one can deny a return to form irrespective of the morass, shame, and scorn.
But then finally there’s someone to believe.
Ready to emerge and direct your fate as the self-determination radiates because finally there’s someone to believe.
And now you walk with confidence and ease
And it feels like the spring equinox after a long winter’s sleep.
Finally, there’s someone to believe.

Quelqu’un en qui croire

Sombre, glacé, l’hibernation tenue à distance pendant que ton esprit, délaissé, laissait filer un jour de plus.
Mais enfin, il y a quelqu’un en qui croire.
L’ennui antisocial fait rage, mais arrive un moment où il faut tourner la page et où il y a enfin quelqu’un en qui croire.
Et maintenant, tu avances en confiance et avec aisance.
Et il n’y a plus aucune raison de vendre ton âme, de te confesser ou de te mettre à genoux.

Qui, quand et comment as-tu changé d’avis ?
Cela n’a plus d’importance car tu as perçu un signe.
Et maintenant, il y a enfin quelqu’un en qui croire.
La recherche de réponses est une quête solitaire, mais l’acte est susceptible de faire ressortir le meilleur en toi.
Et enfin, il y a quelqu’un en qui croire.
Et maintenant, tu as un but à atteindre.
Et tu te rends compte que le fardeau dont tu t’es débarrassé, tu n’en avais même pas besoin.

Personne ne peut te reprocher un retour aux sources, quels que soient le marasme, la honte et le mépris.
Mais finalement, il y a quelqu’un en qui croire.
Prêt à surgir et à diriger ton destin alors que l’autodétermination irradie, parce qu’enfin il y a quelqu’un en qui croire.
Et maintenant, tu marches en confiance et avec aisance
Et ça ressemble à l’équinoxe de printemps après une longue hibernation.
Enfin, il y a quelqu’un en qui croire.

10. Avalon (Graffin)

As the sun comes creeping up the mountain and the wind blows over from the sea.
Hey, we’re brought into this land like tiny particles of sand,
unsure of who we’re smarter than, or what we’re meant to be.
As the grains sift coarsely through the hour glass and collect like victims in the bowl.
The ungodly force of change erodes all sense of earthly gains.
While tending to the mundane will terrorize your soul.

And it’s no! It’s no use thinking that you’re wrong. The past is old and gone.
It’s best to move along and find your Avalon.

Well, I wish that I could tell you it was easy, just take the paved road right to paradise.
But the truth is my friends, the pain and suffering never ends.
Make amends with medicine, amnesia, and lies.
All the grains sift coarsely through the hour glass and they pound like boulders on the brain.
All those things you did for fun, never hurting anyone, careless shadows in the sun, just empty and lame.

And it’s no . . . it’s no use thinking that you’re wrong. The past is old and gone.
It’s best to move along and find your Avalon.

It’s no use thinking that you’re wrong. The past is dead and gone.
It’s best to move along and find your Avalon.

So now the day races from the twilight. How the fields are enveloped by the shade.
And the story that you’ll tell, inventory of your well, crack the shell and find the mortar silted and decayed.

And it’s no! It’s no use thinking that you’re wrong. The past is dead and gone.
It’s best to move along and find your Avalon. It’s best to hurry on and find your Avalon.

Avalon

Alors que le soleil se lève au-dessus des montagnes et que le vent souffle depuis la mer,
Nous sommes arrivés sur cette terre comme de minuscules particules de sable,
Ne sachant pas vraiment qui est le plus intelligent, ni ce que nous sommes censés faire là.
Comme les grains qui passent grossièrement au travers du sablier et qui s’accumulent comme des victimes dans le récipient,
La force impie du changement efface toute notion de progrès sur terre.
Pendant ce temps, t’occuper du quotidien va terroriser ton âme.

Et non ! Ça ne sert à rien de penser qu’on a tort.
Le passé est lointain et révolu.
Il vaut mieux aller de l’avant et trouver son Avalon.

J’aimerais pouvoir vous dire que ce fut facile, de prendre directement la route pavée vers le paradis.
Mais la vérité, mes amis, c’est que la douleur et la souffrance ne finissent jamais.
Réconciliez-vous avec la médecine, l’amnésie et le mensonge.
Tous les grains passent grossièrement au travers du sablier et ils cognent tels des rochers dans le cerveau.
Toutes ces choses que vous avez faites par plaisir, sans jamais blesser personne, des ombres insouciantes au soleil, juste vides et pitoyables.

Et non… ça ne sert à rien de penser qu’on a tort.
Le passé est lointain et révolu.
Il vaut mieux aller de l’avant et trouver son Avalon.

Ça ne sert à rien de penser qu’on a tort.
Le passé est mort et enterré.
Il vaut mieux aller de l’avant et trouver son Avalon.

Maintenant, le jour commence au crépuscule.
La façon dont les champs sont recouverts par la pénombre.
Et l’histoire que tu vas raconter, ce qu’il y a dans ton puits, comment tu as craqué la paroi et trouvé le ciment encrassé et décrépit.
Et non ! Ça ne sert à rien de penser qu’on a tort.
Le passé est mort et enterré.
Il vaut mieux aller de l’avant et trouver son Avalon.
Il vaut mieux se dépêcher et trouver son Avalon.

11. Cyanide (Gurewitz)

Well, let me bend your ear
Because I’m never really there
When shadows turn to light
And hope into despair

There was an only one
But the broody skies above
Brought down a shameful stain
And not a single drop of cleaning rain

Let me say
Oh oh well there’s no place left to hide
Oh oh from the loneliness inside
The road to you is paved right through with bloody good intentions
And missin’ you is like kissin’

Cyanide

Well in this world of things
One of them is lost
I’ve been it in my dreams
But not without a cost

Down a lonely street
It was our destiny to meet
Nobody asked you twice
We found purchase then with no requite – nothing nice

Oh oh well there’s no place left to hide
Oh oh from the loneliness inside
The road to you is paved right through with bloody good intentions
And missin’ you is like kissin’

Cyanide

Would you believe in something good that’s so wrong
And have you worshiped our invention
Well I’ve paid my debt in coin and sweat with trifling hesitation
Because the road to you is paved with good intentions

Oh oh well there’s no place left to hide
Oh oh from the loneliness inside
The road to you is paved right through with bloody good intentions
And missin’ you is like kissin’

Cyanide
Cyanide…

Cyanure

Eh bien, laisse-moi te parler.
Parce que je ne suis jamais vraiment là
Quand les ombres se transforment en lumière
Et l’espoir en désespoir

Il y avait une seule et unique,
Mais depuis un ciel couvert
Est tombée une tare honteuse
Et pas une goutte de pluie pour la nettoyer

Laisse-moi te dire
Il n’y a plus d’endroit où se cacher
De la solitude intérieure
La route vers toi est pavée de bonnes et sanglantes intentions
Et se languir de toi, c’est comme embrasser du

Cyanure

Dans ce monde de découvertes
L’une d’entre elles est perdue
Je l’ai vécu dans mes rêves
Mais pas sans que cela ne me coûte

Dans une rue isolée
C’était notre destin de nous rencontrer
Personne ne t’avais demandé deux fois
Nous avons trouvé acquéreur sans contrepartie – rien de bon

Il n’y a plus d’endroit où se cacher
De la solitude intérieure
La route vers toi est pavée de bonnes et sanglantes intentions
Et se languir de toi, c’est comme embrasser du

Cyanure

Croiriez-vous en quelque chose de bon qui est si mauvais
Et avez-vous adoré cette invention ?
J’ai payé ma dette en argent et en sueur avec une hésitation dérisoire
Parce que la route vers toi est pavée de bonnes intentions

Il n’y a plus d’endroit où se cacher
De la solitude intérieure
La route vers toi est pavée de bonnes et sanglantes intentions
Et se languir de toi, c’est comme embrasser du

Cyanure
Cyanure…

12. Turn Your Back On Me (Gurewitz)

I’ve been searching for so long
Now the search party is gone
Won’t somebody tell me what the hell went wrong
We started out so strong

I never wanted to hurt you
I didn’t plan to desert you
I couldn’t possibly express how much I care

So, turn your back on me
Come on, turn your back on me
To survive, turn your back on me
We’re the same as far as I can see
So, come on, turn your back on me

If I could I would stand outside myself
And pretend that I was looking back at somebody else
If I could do it again would I merely defend it all to the end?
Or do the ends justify themselves?

I never wanted to hurt you
I didn’t plan to desert you
I couldn’t possibly express how much I care

So, turn your back on me
Come on, turn your back on me
To survive, turn your back on me
We’re the same as far as I can see
So, come on, turn your back on me.
nothing to dismay

Laisse-moi

Je cherche depuis si longtemps
Les équipes de recherche sont maintenant parties
Est-ce que quelqu’un va me dire ce qui a mal tourné ?
Nous étions si forts au départ

Je n’ai jamais voulu te faire de mal
Je n’avais pas prévu de t’abandonner
Je ne pourrais jamais exprimer à quel point je tiens à toi.

Alors, laisse-moi
Allez, laisse-moi
Pour survivre, laisse-moi
Nous sommes pareils à ce que je vois
Alors, allez, laisse-moi

Si je le pouvais, je sortirais de mon corps
Et prétendrais que je regardais quelqu’un d’autre
Si c’était à refaire, est-ce que je me contenterais de défendre tout cela jusqu’au bout ?
Ou est-ce que les fins se justifient d’elles-mêmes ?

Je n’ai jamais voulu te faire de mal
Je n’avais pas prévu de t’abandonner
Je ne pourrais jamais exprimer à quel point je tiens à toi.

Alors, laisse-moi
Allez, laisse-moi
Pour survivre, laisse-moi
Nous sommes pareils à ce que je vois
Alors, allez, laisse-moi.

13. Ad Hominem (Graffin)

See all people in Afghanistan praying to the gods and living in the sand.
Somebody’s gonna have to set them free, nobody hears the call or command.
But it’s a long way to Harlem, and a long stretch to the king of Siam.
And if you don’t have a penny, why should I give a damn?

Ad Hominem. You think you’re better than I am?
Ad Hominem. You think you’re better than I am.

See all the suckers in the handout line living on scraps and they don’t have a dime.
Waiting for endless charity devoid of any sense of posterity.
Well there’s no Great Depression and there’s no Great Society.
And only few go to heaven, all the rest are damned and free.

Ad Hominem. You think you’re better than I am?
Ad Hominem. You think you’re better than I am.

I’m just a soft-cover version of a much harder tale.
A walking resemblance of ruts in the trail.
Is it possible to divide your ideas and beliefs. Ideas and beliefs.
Ideas and beliefs from the people that you don’t like?

Ad Hominem. You think you’re better than I am?
Ad Hominem. You think you’re better than I am.

Ad Hominem

Voyez tous les gens en Afghanistan qui prient les dieux et vivent dans le sable.
Quelqu’un va devoir les libérer, personne n’entend l’appel ou l’ordre.
Mais la route est longue jusqu’à Harlem, et très longue jusqu’au roi du Siam.
Et si vous n’avez pas un sou, pourquoi devrais-je me sentir concerné ?

Ad Hominem *. Tu te crois meilleur que moi ?
Ad Hominem. Tu te crois meilleur que moi.

Tu vois tous les crétins dans la file d’attente, qui vivent de ferraille et qui n’ont pas un sou.
Attendant une charité incessante, sans aucune notion de postérité.
Il n’y a pas de Grande Dépression et il n’y a pas de Grande Société.
Et seuls quelques uns iront au ciel, tous les autres seront damnés et libres.

Ad Hominem. Tu te crois meilleur que moi ?
Ad Hominem. Tu te crois meilleur que moi.

Je ne suis qu’une version simplifiée d’un conte bien plus dur.
Une vague ressemblance des traces dans le sentier.
Est-il possible de séparer vos idées et vos croyances ? Idées et croyances.
Les idées et les croyances des personnes que vous n’aimez pas ?

Ad Hominem. Tu te crois meilleur que moi ?
Ad Hominem. Tu te crois meilleur que moi.

* Argument par lequel on attaque l’adversaire directement dans sa personne en lui opposant ses propres paroles ou ses propres actes.

14. Where The Fun Is (Gurewitz)

Smacked back tarmac stars are scars of fame
In the place where no one knows me by my name
Where tar pit drips its drilled out vein
And fashion trips on tangled skein
If you need to slake that aching in your brain

This is where the fun is
This is where the fun is

In the shadow of the valley
Where the nights are warm
We will fear no evil
When we get things done

Tap in – into the vain
We’ll road trip and raise Cain
Down on the nickel
With a flame in the rain

This is where the fun is
This is where the fun is
This is where the fun is
This is where the fun is
This is where

So, jump in – into the frame
We’re laughin’ to hide the pain
It’s not a riddle we’re all a little, a little amazed

This is where the fun is
This is where the fun is…

C’est ce qui est amusant

Les stars du tarmac sont des vestiges de la célébrité
Là où personne ne me connaît par mon nom
Où le goudron dégouline de sa veine ouverte
Et des voyages à la mode sur des échasses emmêlées
Si tu as besoin de soulager cette douleur dans ton cerveau

C’est ce qui est amusant
C’est ce qui est amusant

Dans l’ombre de la vallée
Là où les nuits sont chaudes
Nous ne craindrons pas le mal
Quand nous fairons bien les choses

Exploiter – dans la vanité
Nous prendrons la route et élèverons Cain
Au diable le nickel
Avec une flamme sous la pluie

C’est ce qui est amusant
C’est ce qui est amusant
C’est ce qui est amusant
C’est ce qui est amusant

Alors, entrez – dans le cadre
On rit pour cacher la douleur
Ce n’est pas une énigme, nous sommes tous un peu, un peu étonnés

C’est ce qui est amusant
C’est ce qui est amusant…

15. I Won’t Say Anything (Gurewitz)

He looked just like a zookeeper in a human zoo
So I said hey man how the hell did they get to you
Don’t you know us animals need something to do
Then I flew
That’s when he said

Hey, I can’t deny it, but I won’t say anything
Hey, I can’t deny it, but I won’t say anything
Hey, I can’t deny it, but I won’t say anything
Unless you ask it right

So I took my mean machine to the sacramental post
Some kid had spilled his wine on the holiest host
And I said ain’t it funny that machines need a ghost
He made a toast

Hey, I can’t deny it, but I won’t say anything
Hey, I can’t deny it, but I won’t say anything
Hey, I can’t deny it, but I won’t say anything
Unless you ask it right

Riding to the cemetery in a righteous limousine
I plied the grim proprietor with milk and tangerines
And I said so you’re short but are you brutish and mean
Then he screamed
That’s when he said

Hey, I can’t deny it, but I won’t say anything
Hey, I can’t deny it, but I won’t say anything
Hey, I can’t deny it, but I won’t say anything
Unless you ask it right.

Je ne dirai rien

Il ressemblait à un gardien de zoo dans un zoo humain
Alors j’ai dit : « Hé mec, comment diable sont-ils arrivés jusqu’à toi ?
Tu ne sais pas que nous, les animaux, avons besoin de nous occuper ? »
Puis il s’est envolé
En disant

Hé, je ne peux pas le nier, mais je ne dirai rien
Hé, je ne peux pas le nier, mais je ne dirai rien
Hé, je ne peux pas le nier, mais je ne dirai rien
A moins que tu ne le demandes correctement

J’ai donc emmené mon animal-machine jusqu’au lieu de culte
Un gamin avait renversé son vin sur l’hôte le plus saint
Et j’ai dit : « N’est-ce pas curieux que les machines aient besoin d’un esprit ? »
Il a porté un toast

Hé, je ne peux pas le nier, mais je ne dirai rien
Hé, je ne peux pas le nier, mais je ne dirai rien
Hé, je ne peux pas le nier, mais je ne dirai rien
A moins que tu ne le demandes correctement

Je me suis rendu au cimetière à bord d’une limousine vertueuse
J’ai servi du lait et des mandarines au sinistre propriétaire
Et j’ai dit : « vous êtes petit mais êtes-vous brutal et méchant ? »
Puis il a crié
C’est alors qu’il a dit

Hé, je ne peux pas le nier, mais je ne dirai rien
Hé, je ne peux pas le nier, mais je ne dirai rien
Hé, je ne peux pas le nier, mais je ne dirai rien
A moins que tu ne le demandes correctement.

16. Finite (Graffin)

In a quantity of light, you can search for all of your life
but it’s finite.
From a sudden burst of sound, the recoil may never be found
but it is finite (finite but incalculable).

On and on, on and on, but impervious to calculation, on and on.
It’s impervious to calculation.
Woah, just how far it goes, nobody knows.

In the peaceful warm embrace, the intention shows on your face,
but it’s finite.
From the hate that spurs us on, to the meek and gullible pawn,
it is finite (finite but incalculable).

On and on, on and on, but impervious to calculation, on and on.
It’s impervious to calculation. Woah just how far it goes…

Where the lightning sparked a flash, when precisely did it pass?
All delusions went away, as with all the shades of gray.
Now I’m left with faulty tools and a hazy set of rules
and a brand new day.

In the turbulent conscious stream,
the unbearable lightness of being, and it’s finite.
From the universal mass constant matters coming to pass,
but it’s finite.

On and on, on and on, but impervious to calculation, on and on.
It’s impervious to calculation.
woah, just how far it goes, nobody knows.
No one knows, woah, no one knows, no one knows.

Limité

Dans une quantité de lumière, on peut chercher toute sa vie
mais c’est limité.
D’une soudaine impulsion sonore, le rebond peut ne jamais être trouvé
mais c’est limité (limité mais incalculable).

Encore et toujours, encore et toujours, mais impossible à calculer, encore et toujours.
C’est impossible à calculer.
Personne ne sait jusqu’où ça va.

Dans l’étreinte paisible et chaleureuse, l’intention se lit sur ton visage,
mais elle est limitée.
De la haine qui nous pousse à agir, au pion docile et crédule,
elle est limitée (limitée mais incalculable).

Encore et toujours, encore et toujours, mais impossible à calculer, encore et toujours.
C’est impossible à calculer. Jusqu’où ça va…

Où la foudre a provoqué un éclair, à quel moment précis est-il passé ?
Toutes les illusions ont disparu, comme toutes les nuances de gris.
Maintenant, je me retrouve avec des outils défectueux et un ensemble de règles floues
et un tout nouveau jour.

Dans le courant conscient et turbulent,
l’insupportable légèreté de l’être, elle est limitée.
Depuis la masse universelle, des choses constantes se produisent,
mais elles sont limitées.

Encore et toujours, encore et toujours, mais impossible à calculer, encore et toujours.
C’est impossible à calculer.
Personne ne sait jusqu’où ça va.
Personne ne sait, personne ne sait, personne ne sait.